Des Clowns toute l’année pour l’hôpital Femme-Mère-Enfant
- décembre 16, 2020
- by
- Pauline
VIVRE AUX ÉCLATS lance une campagne d’appel à dons pour financer les visites clownesques 2021 à l’Hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron
.
Tout au long de l’année, les comédiens-clowns professionnels de VIVRE AUX ÉCLATS se rendent une fois par semaine dans les services de neuropédiatrie, néphrologie, dialyse, exploration neurologique et unité du sommeil de l’Hôpital Femme-Mère-Enfant à Bron (69).
Cette campagne de dons sert à financer les visites clownesques en 2021 auprès des enfants hospitalisés pour redonner des sourires et de la joie à ceux qui en ont le plus besoin. Un tirage au sort aura lieu parmi tous les donateurs pour gagner une visite clownesque ! *
.
.
A quoi servira l’argent collecté ?
Tous les fonds récoltés serviront à financer les interventions clownesques au sein de l’Hôpital Femme-Mère-Enfant en 2021.
L’objectif est de réunir 13 200 € avant le 31 décembre 2020.
La contribution de chacun quelle qu’elle soit peut nous aider à atteindre cet objectif : 5€, 50€, 500€, chaque aide est précieuse ! Et tous les dons sont déductibles d’impôts à hauteur de 66 %.
.
Pour faire un don et suivre la campagne : CLIQUEZ ICI
.
À propos de VIVRE AUX ÉCLATS
Des clowns à l’hôpital pour les enfants, les ados, les adultes en situation de handicap et les personnes âgées, chaque semaine en région lyonnaise et à Annonay
Depuis 1996, les comédiens-clowns de VIVRE AUX ÉCLATS interviennent en milieu de soins où ils développent un jeu improvisé et interactif auprès des enfants, adolescents, adultes en situation de handicap et personnes âgées. En prenant le temps de la rencontre et en semant, au fil de leurs visites, de la joie, du plaisir et toutes sortes d’émotions, ils participent à l’humanisation des soins et à la qualité de vie dans ces établissements de santé.
.
* Un tirage au sort parmi tous les donateurs de cette campagne aura lieu début 2021. Deux clowns se rendront au domicile du gagnant durant une heure – restreint au Rhône et à Annonay.
.
.
